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Lisbon vs. Satar - Comparaison des tailles
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Lisbonne (en portugais : Lisboa /liʒˈboɐ/ ) est la capitale et la plus grande ville du Portugal. Considérée comme une « ville mondiale » selon le classement 2010 du Réseau d’étude sur la mondialisation et les villes mondiales (GaWC) comme Taipei, Miami, Varsovie ou Munich, Lisbonne est également le chef-lieu du district de Lisbonne, du Grand Lisbonne et de la zone métropolitaine de Lisbonne. Ses habitants sont habituellement appelés Lisboètes (du portugais lisboeta), mais on rencontre aussi les termes Lisbonnin et Lisbonnais. D'après le recensement de 2020, la municipalité compterait une population de 837 890 habitants, répartie sur une surface de 83,7 km2. L'agglomération de Lisbonne (Grand Lisbonne) compte une population légèrement supérieure à 2,190 millions d'habitants (NUTS III), ce qui en fait la 15e agglomération européenne en importance. Son aire urbaine (Région de Lisbonne) compte quant à elle 2 987 876 habitants (NUTS II), représentant 30,7 % de la population portugaise.



C'est la ville la plus riche du Portugal, avec un PIB par habitant supérieur au PIB moyen de l'Union européenne. Située à l'embouchure du Tage (Tejo en portugais) la municipalité est divisée en 24 freguesias (paroisses civiles ou arrondissements). Elle est limitée par les communes de Odivelas et Loures au nord, Oeiras à l'ouest, Amadora au nord-ouest et l'estuaire du Tage (la mer de Paille) au sud-est, au travers duquel, la ville est au contact des municipalités de la rive sud : Almada, Seixal, Barreiro, Moita, Montijo et Alcochete. Deux agences européennes ont leur siège à Lisbonne : l'Observatoire européen des drogues et des toxicomanies et l'Agence européenne pour la sécurité maritime, toutes les deux situées au bord du fleuve. L'organisation de la Communauté des pays de langue portugaise a également ses bureaux dans la capitale portugaise.

Source: Wikipedia
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Le tambûr, tambur, tamboor, tanbur, tanbura, tamboura, dambura, tanburag, tampura, tanpura, tampuri, tamburitza, tonbul ou tunbûr (d'autres dérivés : pandura, pandore, bandora, dombra) est un instrument à cordes. Ce terme désigne une famille de luths à manche long, fort différents, répandus en Chine, en Ouzbékistan, au Kazakhstan, en Afghanistan, en Iran, en Irak, en Azerbaïdjan, au Tadjikistan, en Turquie, en Arménie et dans les Balkans. Il ne s'agit pas d'un instrument de percussion malgré l'homophonie du tambour, mais d'un instrument à cordes pincées. De fait, la tanpora ou tanburah égyptienne relève plus d'une erreur de vocable récente, puisqu'il s'agit d'une lyre connue sous le nom générique de simsimiyya. Il existait dans l'Antiquité au moins deux variétés distinctes de tambûr. Avec une forme plus ou moins piriforme : cet instrument est utilisé en Assyrie et en Perse, puis introduit par l'Asie mineure en Grèce, d'où il passa ensuite dans l'Empire romain. La caisse, formée d’une courbe gracieuse de la base jusqu'au manche, a évolué vers une ligne extérieure plus tranchée, s'approchant d'une forme triangulaire aux angles arrondis. Avec une forme ovale : c'est l'instrument favori des Égyptiens. On le rencontre aussi en Perse antique et parmi les Arabes d'Afrique du Nord, qui l'ont introduit en Espagne.Le terme sumérien pantur est à l'origine du tambur persan et du pandoura gréco-latin qui désigne aujourd'hui une variété de cithare-luth ukrainienne (la bandoura) et un petit luth géorgien (le panduri). Les Persans utilisaient un tambûr à six cordes, qu'ils distinguaient des autres instruments. Un tambûr figure sur un bas-relief assyrien exposé au British Museum, qui date du règne de Assurnazirpal II, vers 880 av.



J.-C.. Dans une scène illustrant la vie dans un camp, le musicien joue d'un tambûr piriforme avec un manche très long et fin, qui n'aurait pu avoir que deux cordes, tandis que deux hommes déguisés dansent. Le tambûr a évolué avec les Romains, qui ont élargi le manche pour accueillir quatre cordes et adopté une caisse ovale. On en trouve un exemple sur les marbres de la collection Townley au British Museum, où un bas-relief daté de 150 av. J.-C. illustre le mariage d'Eros et de Psyché montre l'instrument en entier et de profil. C'est au VIIIe siècle que le terme tunbûr apparaît dans un manuscrit arabe. Il se répand très vite sous la forme de tambûr dans tout le Moyen-Orient. Dans ses traités de musique, Al-Farabi, un philosophe persan du Xe siècle, mentionne deux types de tambûr, consacrant un chapitre à chacun : celui du Khorasan de type persan, et celui de Bagdad de type assyrien. Ces deux instruments diffèrent en forme, en taille et par la disposition des frettes. Al-Farabi ne décrit pas la forme de la caisse, détaillant davantage les dimensions de l'instrument. Au XIe siècle, le tambûr parvient en Inde, bien qu'il existait déjà un long luth dans le sud du pays. C'est sans doute à la même période, à la faveur de l'expansion de l'islam, qu'il se répand autour de la Route de la soie. Le tambûr a traversé le Moyen Âge et l'époque moderne sous différents noms. Les miniatures des Cantigas de Santa Maria représentent des instruments ovales comme le scheschta, alors qu'une variété à trois cordes est connue sous le nom de schrud.

Source: Wikipedia

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