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Fortaleza vs. Satar - Comparaison des tailles
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Fortaleza
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Fortaleza vs Satar

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Fortaleza

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Fortaleza est une ville du Brésil, capitale de l'État du Ceará, dans la région du Nordeste. Elle appartient à la mésorégion Métropolitaine de Fortaleza et à la microrégion de Fortaleza. La ville s'est développée sur les rives du ruisseau Pajeú dans le nord-est du pays, à 1 690 km de Brasília. Son nom provient du Fort Schoonenborch, construit par les Hollandais au cours de leur deuxième contrôle de la région entre 1649 et 1654. La devise de la ville (présent sur son blason) est le mot latin Fortitudine qui signifie « la force, la bravoure, le courage ». Elle est située le long de la côte atlantique, avec 34 km de plages, une altitude moyenne de 21 mètres et une superficie de 313,8 km2 pour 2 591 188 habitants en 2015, ce qui en fait la capitale la plus densément peuplée du pays avec 8 257 habitants par kilomètre carré. Fortaleza, 15e PIB du Brésil et second du Nordeste avec 28,3 milliards de reais, est un centre industriel et commercial important avec le septième pouvoir d'achat du Brésil. Elle a été la destination touristique la plus populaire en 2004, notamment grâce à des attractions comme la micareta Fortal et au plus grand parc aquatique du Brésil, le Beach Park.



Fortaleza est le siège de la Banco do Nordeste, de la Companhia Ferroviária do Nordeste et du Département National de Lutte contre la Sècheresse (DNOCS). En 1996, la ville a rejoint le « Marché commun des villes » du Mercosur. Baptisée « la Blonde du Soleil » des vers du poète Paul Ney, la ville est la terre natale des écrivains José de Alencar et Rachel de Queiroz, de l'humoriste Tom Cavalcante et de l'ancien président Humberto de Alencar Castello Branco. Le Centre Dragão do Mar des Arts et de la Culture (CDMAC) est le principal espace culturel de Fortaleza, avec des musées, des théâtres, des cinémas, des bibliothèques et le planétarium. Son aéroport est l'aéroport international Pinto Martins. Fortaleza est la capitale d'État du Brésil le plus proche de l'Europe, avec les 5 467 km qui le séparent de Sagres au Portugal. Elle fait partie des 12 sites de la Coupe du monde de football de 2014.

Source: Wikipedia
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Le tambûr, tambur, tamboor, tanbur, tanbura, tamboura, dambura, tanburag, tampura, tanpura, tampuri, tamburitza, tonbul ou tunbûr (d'autres dérivés : pandura, pandore, bandora, dombra) est un instrument à cordes. Ce terme désigne une famille de luths à manche long, fort différents, répandus en Chine, en Ouzbékistan, au Kazakhstan, en Afghanistan, en Iran, en Irak, en Azerbaïdjan, au Tadjikistan, en Turquie, en Arménie et dans les Balkans. Il ne s'agit pas d'un instrument de percussion malgré l'homophonie du tambour, mais d'un instrument à cordes pincées. De fait, la tanpora ou tanburah égyptienne relève plus d'une erreur de vocable récente, puisqu'il s'agit d'une lyre connue sous le nom générique de simsimiyya. Il existait dans l'Antiquité au moins deux variétés distinctes de tambûr. Avec une forme plus ou moins piriforme : cet instrument est utilisé en Assyrie et en Perse, puis introduit par l'Asie mineure en Grèce, d'où il passa ensuite dans l'Empire romain. La caisse, formée d’une courbe gracieuse de la base jusqu'au manche, a évolué vers une ligne extérieure plus tranchée, s'approchant d'une forme triangulaire aux angles arrondis. Avec une forme ovale : c'est l'instrument favori des Égyptiens. On le rencontre aussi en Perse antique et parmi les Arabes d'Afrique du Nord, qui l'ont introduit en Espagne.Le terme sumérien pantur est à l'origine du tambur persan et du pandoura gréco-latin qui désigne aujourd'hui une variété de cithare-luth ukrainienne (la bandoura) et un petit luth géorgien (le panduri). Les Persans utilisaient un tambûr à six cordes, qu'ils distinguaient des autres instruments. Un tambûr figure sur un bas-relief assyrien exposé au British Museum, qui date du règne de Assurnazirpal II, vers 880 av.



J.-C.. Dans une scène illustrant la vie dans un camp, le musicien joue d'un tambûr piriforme avec un manche très long et fin, qui n'aurait pu avoir que deux cordes, tandis que deux hommes déguisés dansent. Le tambûr a évolué avec les Romains, qui ont élargi le manche pour accueillir quatre cordes et adopté une caisse ovale. On en trouve un exemple sur les marbres de la collection Townley au British Museum, où un bas-relief daté de 150 av. J.-C. illustre le mariage d'Eros et de Psyché montre l'instrument en entier et de profil. C'est au VIIIe siècle que le terme tunbûr apparaît dans un manuscrit arabe. Il se répand très vite sous la forme de tambûr dans tout le Moyen-Orient. Dans ses traités de musique, Al-Farabi, un philosophe persan du Xe siècle, mentionne deux types de tambûr, consacrant un chapitre à chacun : celui du Khorasan de type persan, et celui de Bagdad de type assyrien. Ces deux instruments diffèrent en forme, en taille et par la disposition des frettes. Al-Farabi ne décrit pas la forme de la caisse, détaillant davantage les dimensions de l'instrument. Au XIe siècle, le tambûr parvient en Inde, bien qu'il existait déjà un long luth dans le sud du pays. C'est sans doute à la même période, à la faveur de l'expansion de l'islam, qu'il se répand autour de la Route de la soie. Le tambûr a traversé le Moyen Âge et l'époque moderne sous différents noms. Les miniatures des Cantigas de Santa Maria représentent des instruments ovales comme le scheschta, alors qu'une variété à trois cordes est connue sous le nom de schrud.

Source: Wikipedia

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