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Bari
Satar

Bari vs Satar

Bari
Satar
Changement

Bari

ÉtatApulia

Pays

Italy
Capital
Population 326344

Informations

Bari (Bari en italien, ['baːri], Bàre en dialecte, Vare dans l'ancien dialecte, Barium en latin, Barion en grec) est une ville italienne de plus de 315 000 habitants, chef-lieu de la ville métropolitaine de Bari et de la région des Pouilles, sur la côte adriatique. Bari est la ville principale d'une agglomération urbaine de plus de 750 000 habitants. Pour l'ensemble de la surface urbanisée, ce chiffre s'élève à environ 1 300 000 habitants. Bari est la neuvième ville italienne par sa population, la troisième du Sud de l'Italie et la première de la région. La ville est l'une des quinze métropoles italiennes. Bari est connu pour être la ville où se trouvent les reliques de saint Nicolas. Ce privilège a fait de Bari et de la basilique de la ville l'un des centres importants de l'Église orthodoxe en Occident. Bari a une forte tradition marchande et est depuis toujours un centre névralgique du commerce et des échanges politico-culturels avec l'Europe et le Moyen-Orient.



Son port est actuellement le plus grand port de passagers de la mer Adriatique. Depuis 1930, la Fiera del Levante se tient à Bari et, plus récemment, la ville est devenue le siège du secrétariat du Corridor paneuropéen VIII. Le centre historique appelé Bari Vecchia est empreint d'une histoire millénaire et contraste avec le Quartier Murat datant du XVIIIe siècle dont le nom est issu du général Murat. Le quartier est organisé en damier et représente le mieux la tradition commerciale de la ville. Après la Seconde Guerre mondiale, l'urbanisation rapide et souvent incontrôlée a rendu moins régulière la partie moderne de la ville qui s'est développée au-delà du quartier murattiano.

Source: Wikipedia
Changement

Satar

État

Pays

Capital
Population 0

Informations

Le tambûr, tambur, tamboor, tanbur, tanbura, tamboura, dambura, tanburag, tampura, tanpura, tampuri, tamburitza, tonbul ou tunbûr (d'autres dérivés : pandura, pandore, bandora, dombra) est un instrument à cordes. Ce terme désigne une famille de luths à manche long, fort différents, répandus en Chine, en Ouzbékistan, au Kazakhstan, en Afghanistan, en Iran, en Irak, en Azerbaïdjan, au Tadjikistan, en Turquie, en Arménie et dans les Balkans. Il ne s'agit pas d'un instrument de percussion malgré l'homophonie du tambour, mais d'un instrument à cordes pincées. De fait, la tanpora ou tanburah égyptienne relève plus d'une erreur de vocable récente, puisqu'il s'agit d'une lyre connue sous le nom générique de simsimiyya. Il existait dans l'Antiquité au moins deux variétés distinctes de tambûr. Avec une forme plus ou moins piriforme : cet instrument est utilisé en Assyrie et en Perse, puis introduit par l'Asie mineure en Grèce, d'où il passa ensuite dans l'Empire romain. La caisse, formée d’une courbe gracieuse de la base jusqu'au manche, a évolué vers une ligne extérieure plus tranchée, s'approchant d'une forme triangulaire aux angles arrondis. Avec une forme ovale : c'est l'instrument favori des Égyptiens. On le rencontre aussi en Perse antique et parmi les Arabes d'Afrique du Nord, qui l'ont introduit en Espagne.Le terme sumérien pantur est à l'origine du tambur persan et du pandoura gréco-latin qui désigne aujourd'hui une variété de cithare-luth ukrainienne (la bandoura) et un petit luth géorgien (le panduri). Les Persans utilisaient un tambûr à six cordes, qu'ils distinguaient des autres instruments. Un tambûr figure sur un bas-relief assyrien exposé au British Museum, qui date du règne de Assurnazirpal II, vers 880 av.



J.-C.. Dans une scène illustrant la vie dans un camp, le musicien joue d'un tambûr piriforme avec un manche très long et fin, qui n'aurait pu avoir que deux cordes, tandis que deux hommes déguisés dansent. Le tambûr a évolué avec les Romains, qui ont élargi le manche pour accueillir quatre cordes et adopté une caisse ovale. On en trouve un exemple sur les marbres de la collection Townley au British Museum, où un bas-relief daté de 150 av. J.-C. illustre le mariage d'Eros et de Psyché montre l'instrument en entier et de profil. C'est au VIIIe siècle que le terme tunbûr apparaît dans un manuscrit arabe. Il se répand très vite sous la forme de tambûr dans tout le Moyen-Orient. Dans ses traités de musique, Al-Farabi, un philosophe persan du Xe siècle, mentionne deux types de tambûr, consacrant un chapitre à chacun : celui du Khorasan de type persan, et celui de Bagdad de type assyrien. Ces deux instruments diffèrent en forme, en taille et par la disposition des frettes. Al-Farabi ne décrit pas la forme de la caisse, détaillant davantage les dimensions de l'instrument. Au XIe siècle, le tambûr parvient en Inde, bien qu'il existait déjà un long luth dans le sud du pays. C'est sans doute à la même période, à la faveur de l'expansion de l'islam, qu'il se répand autour de la Route de la soie. Le tambûr a traversé le Moyen Âge et l'époque moderne sous différents noms. Les miniatures des Cantigas de Santa Maria représentent des instruments ovales comme le scheschta, alors qu'une variété à trois cordes est connue sous le nom de schrud.

Source: Wikipedia

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