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Algiers vs. Satar - Comparaison des tailles
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Algiers vs Satar

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Algiers

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Algeria
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Alger (en arabe : الجزائر العاصمة, Al-Jazāʾir El ʿĀṣima,, en berbère : ⵍⴷⵣⴰⵢⵔ ⵜⴰⵎⴰⵏⴰⵖⵜ, Ldzayer tamanaɣt ou Lezzayer tamanaɣt), surnommée El Bahdja (« la joyeuse »), El Mahrussa (« la bien-gardée ») ou El Beida (« la blanche »), est la capitale de l'Algérie et en est la ville la plus peuplée. Située au bord de la mer Méditerranée, la ville d'Alger est en fait constituée de plusieurs communes de la wilaya d'Alger dont elle donne son nom en tant que chef-lieu mais n'a ni personnalité juridique, ni structure d'administration en propre. L'unité urbaine d'Alger comptait 2 481 788 habitants selon l'Office national des statistiques algérien d'après le dernier recensement de 2008. Avec 4,4 millions d'habitants selon le ministère des Affaires étrangères français, tandis que l'agglomération en comptait environ 6 727 806 habitants en 2010 suivant le classement des 100 plus grandes villes du monde par World Gazetteer et 8 000 000 habitants en 2020 selon Population Data, Alger est la première agglomération du Maghreb et du littoral méditerranéen. Fondée au IVe siècle av. J.-C., comme comptoir phénicien en pays berbère, sous le nom d'Ikosim, elle est occupée par les Romains, les Vandales, les Byzantins et les Arabes puis au début du Moyen Âge par la tribu berbère des Beni-Mezghana.



C'est le souverain berbère de la dynastie ziride Bologhine ibn Ziri, au milieu du Xe siècle qui fondera l'Alger actuelle, sous son nom El-Djazaïr ou Lezzayer, employé encore de nos jours pour la désigner en arabe et en berbère. Elle ne prend son rôle de capitale de l'Algérie qu'à partir de la période de la régence d'Alger en 1515. Elle est alors une des cités les plus importantes de la mer Méditerranée entre le XVIe siècle et le début du XIXe siècle, pratiquant le corso, et à laquelle les puissances maritimes versent un impôt pour le passage de leur flotte. Son rôle de capitale du pays sera confirmé lors de la colonisation française où elle devient le siège du gouverneur général de l'Algérie. Alger fut la capitale de la France libre de 1942 à 1944. Depuis l'indépendance de l'Algérie, en 1962, devenue capitale de l’État algérien, elle abrite le siège des institutions politiques du pays en plus de tenir un rôle de premier plan économiquement.

Source: Wikipedia
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Le tambûr, tambur, tamboor, tanbur, tanbura, tamboura, dambura, tanburag, tampura, tanpura, tampuri, tamburitza, tonbul ou tunbûr (d'autres dérivés : pandura, pandore, bandora, dombra) est un instrument à cordes. Ce terme désigne une famille de luths à manche long, fort différents, répandus en Chine, en Ouzbékistan, au Kazakhstan, en Afghanistan, en Iran, en Irak, en Azerbaïdjan, au Tadjikistan, en Turquie, en Arménie et dans les Balkans. Il ne s'agit pas d'un instrument de percussion malgré l'homophonie du tambour, mais d'un instrument à cordes pincées. De fait, la tanpora ou tanburah égyptienne relève plus d'une erreur de vocable récente, puisqu'il s'agit d'une lyre connue sous le nom générique de simsimiyya. Il existait dans l'Antiquité au moins deux variétés distinctes de tambûr. Avec une forme plus ou moins piriforme : cet instrument est utilisé en Assyrie et en Perse, puis introduit par l'Asie mineure en Grèce, d'où il passa ensuite dans l'Empire romain. La caisse, formée d’une courbe gracieuse de la base jusqu'au manche, a évolué vers une ligne extérieure plus tranchée, s'approchant d'une forme triangulaire aux angles arrondis. Avec une forme ovale : c'est l'instrument favori des Égyptiens. On le rencontre aussi en Perse antique et parmi les Arabes d'Afrique du Nord, qui l'ont introduit en Espagne.Le terme sumérien pantur est à l'origine du tambur persan et du pandoura gréco-latin qui désigne aujourd'hui une variété de cithare-luth ukrainienne (la bandoura) et un petit luth géorgien (le panduri). Les Persans utilisaient un tambûr à six cordes, qu'ils distinguaient des autres instruments. Un tambûr figure sur un bas-relief assyrien exposé au British Museum, qui date du règne de Assurnazirpal II, vers 880 av.



J.-C.. Dans une scène illustrant la vie dans un camp, le musicien joue d'un tambûr piriforme avec un manche très long et fin, qui n'aurait pu avoir que deux cordes, tandis que deux hommes déguisés dansent. Le tambûr a évolué avec les Romains, qui ont élargi le manche pour accueillir quatre cordes et adopté une caisse ovale. On en trouve un exemple sur les marbres de la collection Townley au British Museum, où un bas-relief daté de 150 av. J.-C. illustre le mariage d'Eros et de Psyché montre l'instrument en entier et de profil. C'est au VIIIe siècle que le terme tunbûr apparaît dans un manuscrit arabe. Il se répand très vite sous la forme de tambûr dans tout le Moyen-Orient. Dans ses traités de musique, Al-Farabi, un philosophe persan du Xe siècle, mentionne deux types de tambûr, consacrant un chapitre à chacun : celui du Khorasan de type persan, et celui de Bagdad de type assyrien. Ces deux instruments diffèrent en forme, en taille et par la disposition des frettes. Al-Farabi ne décrit pas la forme de la caisse, détaillant davantage les dimensions de l'instrument. Au XIe siècle, le tambûr parvient en Inde, bien qu'il existait déjà un long luth dans le sud du pays. C'est sans doute à la même période, à la faveur de l'expansion de l'islam, qu'il se répand autour de la Route de la soie. Le tambûr a traversé le Moyen Âge et l'époque moderne sous différents noms. Les miniatures des Cantigas de Santa Maria représentent des instruments ovales comme le scheschta, alors qu'une variété à trois cordes est connue sous le nom de schrud.

Source: Wikipedia

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